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Jozef Urban, athlète slovaque participant au marathon Marathon international de la Paix de Košice, a fait forte impression... bien malgré lui.
À partir du jeudi 5 octobre, profitez de notre sélection spéciale cuisine.
Dans une interview accordée à Biba, Marilou Berry a révélé le métier de son compagnon.
En visite à l'Institut français de la mode, Brigitte Macron s'est créé une nouvelle tenue avec des vêtements qu'elle a déjà porté.
Le harcèlement de rue fait partie des problèmes récurrents de la société moderne. Afin de dénoncer ce triste phénomène, une jeune femme a décidé de… prendre des selfies. Noa Jansma, une étudiante de 20 ans vivant à Amsterdam, a décidé de réagir d’une façon malicieuse. Lassée d’être interpellée par des hommes dans la rue (qui l’appellent « bébé » ou « chaudasse »), elle a choisi de piéger ses harceleurs en prenant des photos avec eux et en les publiant sur Instagram. Elle a eu cette idée le jour où deux jeunes hommes l’ont filmé dans un train : « J’ai longtemps eu cette idée en tête et je n’osais pas faire le premier pas. Mais quand j’ai demandé à un homme de venir avec moi pour faire une photo, il a répondu avec enthousiasme. », a révélé l’étudiante au site Het Parool. La jeune femme a ouvert un compte Instagram éphémère, nommé « dear catcallers » (« chers harceleurs » en Français) et a lancé un hashtag du même nom. Elle a posté 24 selfies au final pendant le mois de septembre. Plus de 24 000 personnes ont suivi l’expérience menée par l’étudiante sur le réseau social. Bien que cette initiative ait été saluée par de nombreux internautes, Noa Jansma a tout de même reçu quelques critiques dans les commentaires des photos. Découvrez les clichés de cette jeune femme, qui montre que le harcèlement sexuel arrive plus fréquemment que l’on imagine.
Jean souffre de rhumatismes. Ses douleurs sont revenues quand il est passé au médicament générique. Pourquoi ? Découvrez la réponse en vidéo !
Un Britannique vient d'être condamné à la prison à perpétuité. En mars dernier, il avait poignardé à mort une mère et son fils de 13 ans qui l'hébergeaient pour lui porter assistance.
Dans un portrait publié par nos confrères des Inrocks, le député Boris Vallaud revient sur sa déchirure politique avec François Hollande et les menaces de mort envoyées à sa femme qui ont suivi et qui l'ont terriblement choqué.
Jean-Jacques Bourdin a assuré sur RMC que son invitée était injoignable pour son interview. Une version que l'ex-ministre de Nicolas Sarkozy conteste.